• SPÉCIAL ELECTIONS 2018

    le folklore a déjà commencé avec des candidats invalidés ou d'autres empêchés de  voter pour ne pas risquer de compromettre l'élection du candidat choisi par le gouvernement actuel qui lui même aurait du céder la place il y a un an....ça promet......

    ici tous les coups sont permis!

    à suivre....

  • FIN DU SUSPENSE????

     

    Elections 2018 : la Cour constitutionnelle confirme Félix Tshisekedi président de la RDC

    Dans son arrêt rendu samedi 19 janvier, la Cour constitutionnelle a confirmé les résultats de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), proclamant Félix Tshisekedi président de la République démocratique du Congo (RDC). Le candidat de Cap pour le changement (CACH) est crédité de 38,57 % des voix, conformément aux résultats provisoires.

    Martin Fayulu vient en deuxième position avec 34,83% et Emmanuel Ramazani avec 23,81% occupe la troisième place, selon les résultats définitifs de la Cour constitutionnelle. Cette décision est définitive, irrévocable, opposable à tous et sans appel.

    La Cour constitutionnelle a analysé deux requêtes en contestation des résultats provisoires publiés jeudi 10 janvier par la CENI, introduites par les candidats malheureux Martin Fayulu de la Dynamique de l’opposition et Théodore Ngoyi, indépendant.

    Deux requêtes rejetées  

    La première affaire a opposé la Dynamique de l’opposition (DO), plateforme de Martin Fayulu à la CENI. Cette plateforme demandait l’annulation des résultats provisoires « étonnés », le recomptage manuel des voix, la consultation des données des observateurs électoraux comme la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), la Synergie des missions d’observation citoyenne des élections (SYMOCEL), ou toute autre mission d’observation électorale et proclamer élu le candidat Martin Fayulu, a rappelé le juge Noël Kilomba.

    Selon la Dynamique de l’opposition, la CENI a violé la constitution en excluant quatre circonscriptions des provinces du Nord-Kivu (Beni ville et territoire, Butembo) et de Maï-Ndombe (Yumbi), représentant 1 359 000 électeurs. Elle a ordonné à la CENI d’organiser les élections dans les deux semaines suivant le prononcé, de surseoir à la publication des résultats, en attendant les résultats des circonscriptions exclues.

    Pour la Cour constitutionnelle, la demande d’audition des missions d’observation électorale est sans objet. Elle a décidé que les élections ont été régulières et que la demande d’annulation des élections dans les circonscriptions exclues était recevable, mais non fondée. Quant au comptage des voix, c’est une demande extraordinaire, a précisé la Cour constitutionnelle qui a rejeté la demande de la Dynamique de l’opposition. La Cour constitutionnelle a fait savoir que la Dynamique de l'opposition n'a fourni aucune preuve aux allégations soulevées. 

    Dans la deuxième affaire, Théodore Ngoyi réclamait aussi l’annulation de l’élection qu’il qualifiait d’irrégulière. Requête rejetée par la Cour constitutionnelle pour double emploi et défaut d’intérêt.

    Félix Tshisekedi est ainsi élu à la majorité simple pour un mandant de 5 ans à la tête de la RDC. Il devient le cinquième président de la RDC. Il succède à Joseph Kabila, au pouvoir depuis le 26 janvier 2001.

    Après la proclamation des résultats définitifs de l’élection présidentielle, le calendrier de la CENI prévoit la prestation de serment le 22 janvier 2019. Ce sera le premier transfert pacifique du pouvoir en RDC, depuis son accession à l’indépendance, le 30 juin 1960.

    Kasa-Vubu après l’indépendance 

    Le premier président de la RDC fut Joseph Kasa-Vubu (30 juin 1960-24 novembre 1965). Il a été élu démocratiquement au suffrage universel indirect. En 1965, il est renversé par le pouvoir militaire du maréchal Mobutu le 24 novembre.

    C’est à cette date que Joseph-Désiré Mobutu s’autoproclame président de la République. Il organisera par la suite des élections en 1970 où il sera l’unique candidat pour le compte du Mouvement populaire de la Révolution (MPR).

    Il est lui aussi renversé par un coup d’Etat militaire le 17 mai 1997. C’est Laurent-Désiré Kabila qui mène rébellion.

    Kabila père et Kabila fils 

    Le 17 mai 1997, le régime Mobutu s’écroule. Laurent-Désiré Kabila, le chef de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL) prend le pouvoir. Il va diriger pendant quatre ans. Il est assassiné le 16 janvier 2001.

    Son fils, Joseph Kabila, le succède. Il preste serment le 26 janvier 2001.

    En 2002 se tiennent les négociations à Pretoria en Afrique du Sud. À l’issue de ce forum, un schéma 1+4 est mis en place en 2003. C’est-à-dire un président et quatre vice-présidents. Joseph Kabila reste à la tête du pays jusqu’en 2006.

    C’est en 2006 que la RDC organise ses premières élections, dont la présidentielle est à suffrage universel direct à deux tours. Joseph Kabila est élu devant Jean-Pierre Bemba.

    En 2011, il est réélu. Cette fois-ci, la présidentielle se déroule à un seul tour. Joseph Kabila gagne l’opposant Etienne Tshisekedi.

    La RDC organise pour la troisième fois les élections en décembre 2018. A l’issue du scrutin présidentiel, Félix Tshisekedi, fils d’Etienne Tshisekedi, est proclamé président.

    Les 5 président de la RDC 

    Joseph Kasa-Vubu : 30 juin 1960-24 novembre 1965

    Joseph-Désiré Mobutu : 24 novembre 1965-16 mai 1997 (renversé par un coup d’Etat après une rébellion conduite par Laurent-Désiré Kabile).

    Laurent-Désiré Kabila : 17 mai 1997-16 janvier 2001 (assassiné)

    Joseph Kabila : 26 janvier 2001-19 janvier 2019

    Etienne Tshisekedi : à partir du 22 janvier 2019.

    Source :radiookapi.net


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  • PROVISOIRE OU DEFINITIF???

     

    Félix Tshisekedi élu président de la République démocratique du Congo

     

    Félix Tshisekedi est élu président de la République démocratique du Congo avec  38,57% des voix à l’issue du scrutin du 30 décembre 2018, selon les résultats provisoires publiés par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) ce jeudi 10 janvier 2019. Le taux de participation est de 47,56%. Les suffrages valablement exprimés sont de 18 280 820.

    Martin Fayulu vient en deuxième position avec 6 366 732 des voix (35,2%). Emmanuel Ramazani Shadary est troisième avec 4 357 359 des voix (23,8%).

    Selon le calendrier de la CENI réaménagé, les résultats définitifs de cette élection devront être proclamés par la Cour constitutionnelle, le 15 janvier. La prestation du serment du nouveau président est fixée au 18 janvier 2019.

    Mais cette publication des résultats décalée de trois jours risque de modifier aussi les dates de la publication des résultats définitifs et de la prestation de serment, indiquaient en début de semaine des experts électoraux a Radio Okapi.

    Vingt et un candidats étaient en lice pour la course à la magistrature suprême. Vital Kamerhe s’était désisté au profit de Felix Tshisekedi avec qui il a formé la coalition Cap vers le changement (CACH). Freddy Matungulu, Sylvain Masheke et Jean-Philibert Mabaya s’étaient ralliés à Martin Fayulu de la coalition Lamuka.

    Mais ces ralliements tardifs n’ont pas été pris en compte par la CENI, la loi électorale ne prévoyant pas de retrait de candidatures au gré des alliances politiques après la publication des listes définitives des candidats.

    Des dix-sept candidats restant, trois sont sortis du lot pendant la campagne. Emmanuel Ramazani du FCC, le Front commun pour le Congo – vaste plate-forme des partis et regroupements de la coalition de Joseph Kabila, Felix Tshisekedi de Cap pour le changement (CACH) et Martin Fayulu de Lamuka.

     

    Source : radiookapi.net

     


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  • FOLKLORE SUITE....

     

    Elections 2018 : la CENI annonce officiellement le report de la publication des résultats

    Les résultats de l’élection présidentielle ne seront plus publiés dimanche 6 janvier, comme initialement programmé selon le calendrier réaménagé de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Son président, Corneille Nangaa, l’a officiellement annoncé lors d’une conférence de presse organisée à Kinshasa. Il n’a avancé aucune date précise pour la publication des résultats.

    « Annoncée pour ce 6 janvier 2019, la publication des résultats ne peut intervenir ce jour », a affirmé le président de la CENI, Corneille Nangaa.

    Il explique que les travaux de ramassage et transmission des plis des différents bureaux de vote se poursuivent vers les différents centres locaux de compilation, et les destinataires légaux.

    « Le taux de traitement qui était de 20% le 3 janvier 2019, est aujourd’hui à 53% », assure Corneille Nangaa.

    En attendant l’exhaustivité des plis, le président de la CENI demande à l’opinion « de garder patience, le temps de la compilation de toutes les données. »

    Le calendrier réaménagé de la CENI annonçait la publication des résultats provisoires le 6 janvier, et les définitifs le 15 du même mois. La prestation de serment du nouveau président élu devrait avoir lieu le 18 janvier.

    « Il va de soi que tout ce que nous faisons aura un impact sur le calendrier. Nous donnerons les données y afférentes à l’annonce des résultats », a précisé Corneille Nangaa.

    Source : radiookapi.net 

     

     


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    RD Congo : la grande incertitude, dans l'attente des résultats de la présidentielle

    Au lendemain du vote, les réseaux téléphoniques et Internet ont été coupés, tandis que les camps des candidats en lice s'attribuent déjà la victoire.

    L'impression de normalité n'a duré que quelques heures. Lundi matin, Kinshasa a pourtant tenté de faire bonne figure. À l'aube, les rues désertes de la veille se raniment, les passants pressés allongent le pas vers le centre-ville, comme si une semaine des plus normales s'annonçait. Le dimanche, jour d'une élection présidentielle tout aussi attendue que redoutée, est derrière eux. Le vote n'a pas tourné au chaos, la violence est restée mesurée. Alors, la ville entrevoit l'espoir d'une transition pacifique, d'un scrutin sans les contestations, les cris et les peurs jusque-là inévitables.

    À midi, les premiers mauvais signes font s'envoler ce rêve. En quelques heures, l'ensemble des réseaux Internet mobile et terrestre sont coupés. Les SMS ne fonctionnent plus que par intermittence. Aucune annonce officielle n'explique cette coupure. Mais personne n'en a vraiment besoin pour comprendre et s'inquiéter. Le blackout est devenu presque commun, un passage obligé, de bien des régimes d'Afrique dès qu'un risque de manifestation se dessine. En bloquant l'accès aux messageries et aux réseaux sociaux, le pouvoir espère gêner un peu la diffusion de mots d'ordre. En 2016, le président du Congo Brazzaville voisin, Denis Sassou Nguesso, avait ainsi totalement coupé son pays du monde alors que sa neuvième réélection, vivement contestée, soulevait la rage de la capitale.

     «C'est de mauvais augure, reconnaît un diplomate. Le pouvoir semble un peu paniquer. Le processus électoral, s'il n'a pas été parfait, et loin de là, a été acceptable. Mais le moment le plus délicat est celui de l'annonce du résultat». La Commission épiscopale (Cenco), qui conduit une mission d'observation électorale, a relevé plusieurs irrégularités et surtout de nombreux retards, parfois très longs, dans bien des régions. Ces délais, note un observateur, affectent essentiellement des fiefs de l'opposition, un hasard étrange. Comme d'autres, ce dernier redoute que les tentations de fraude deviennent de plus en plus fortes.

    Dès dimanche soir, le ton a commencé à monter entre les différents prétendants. La Coalition de Martin Fayulu, l'un des principaux opposants, dénonçait des «irrégularités» qui auront, selon eux, «une incidence grave» sur la sincérité de l'élection. Sans le dire ouvertement, ce parti considère sa victoire certaine, et qu'une défaite ne pourrait venir que «d'un vol». «Dès lors, on luttera».

    Pour l'entourage du candidat du pouvoir, Emmanuel Ramazani Shadary, l'issue ne fait pas plus de doute. On affirme que la présidence est acquise. Au sortir de son bureau de vote, Shadary avait d'ailleurs assuré: «Demain, je serai président». Lundi, l'un de ses porte-parole s'est fait un rien menaçant. Dans un communiqué, il a condamné «tout acte incitatif au désordre et à la désobéissance civile». La Commission électorale (Céni), l'organisme qui gère l'élection, dispose de six jours pour annoncer le nom du vainqueur.

    Source :lefigaro.fr

     


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  • CHERCHEZ L'ERREUR........

     

    Élections 2018 : les résultats définitifs de la présidentielle prévus le 15 janvier 2019

     

    Dans un communiqué publié mercredi 26 décembre, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) annonce que la publication des résultats définitifs de la présidentielle interviendra le 15 janvier 2019. La prestation de serment du nouveau président élu est programmée au 18 janvier, selon le même document.

    C’est le dimanche 30 décembre que les Congolais vont se rendre aux urnes pour élire le remplaçant de Joseph Kabila à la tête de la RDC, ainsi que les députés nationaux et provinciaux.

    Un jour après, soit le 31 décembre, la CENI annonce le ramassage, compilation et centralisation des résultats du vote présidentiel. Cette opération s’étendra jusqu’au 5 janvier 2019. Les résultats provisoirs seront annoncés le 6 janvier 2019.

    La période du 7 au 15 janvier 2019 est réservée au recours et traitement des résultats de la présidentielle.

    Le calendrier de la CENI partiellement réaménagé annonce la publication des résultats définitifs pour le 15 janvier, alors que quatre circonscriptions ne voteront qu’en mars 2019. Il s’agit de Beni, Beni ville et Butembo ville, toutes de la province du Nord-Kivu, et la ville de Yumbi dans le Maindombe.

    Source :radiookapi.net 

     


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