• liste noire...

     

    La liste noire des compagnies aériennes interdites en Europe en 2017

     

    Elles n’ont pas le droit de voler vers l’Europe, ou sous certaines conditions. Voici la liste des compagnies aériennes interdites dans l’Union européenne. 

    La Commission européenne a publié en décembre la mise à jour de sa liste noire des compagnies aériennes interdites de vol dans l’Union européenne. Dans le détail, ce sont 193 compagnies aériennes qui sont interdites en Europe, et six autres compagnies qui connaissent des restrictions d’exploitation.

    Interdiction totale

    Sont interdites de vol sur le territoire européen les compagnies des pays suivants : Afghanistan, Angola, Bénin, République du Congo, République démocratique du Congo, Djibouti, Guinée équatoriale, Érythrée, Gabon, Indonésie, République kirghize, Liberia, Libye, Mozambique, Népal, Sao Tomé-et-Principe, Sierra Leone et Soudan. Cette interdiction (pour 190 compagnies) s’explique par le manque de supervision de la sécurité par les autorités des pays concernés.

    Les trois dernières compagnies (Iran Aseman Airlines - Iran, Iraqi Airways - Iraq et Blue Wing Airlines - Suriname), sont de leurs côtés interdites en raison de préoccupations en matière de sécurité de ces compagnies, précise le site gouvernemental Service-public.fr.

     

    Restrictions d’exploitation

    Six autres compagnies connaissent quant à elle des restrictions d’exploitation. Si elles ne sont pas interdites, elles ne peuvent effectuer des vols vers l’Europe qu’avec certains avions. Ces compagnies aériennes sont : frijet et Nouvelle Air Affaires SN2AG (Gabon), Air Koryo (République populaire démocratique de Corée), Air Service Comores (Comores), Iran Air (Iran) et TAAG Angola Airlines (Angola).

    Source : seniorplanet.fr


    2 commentaires
  • ecologie

     

     

    Le bassin du Congo se mobilise pour préserver son poumon écologique

     

    Défendue lors de la COP22 de Marrakech par le président congolais Denis Sassou-Nguesso, cette initiative est une première en Afrique.

     

    Avec ses 2 millions de kilomètres carrés de forêts, qui représentent 10 % de la biodiversité mondiale, le bassin du Congo est, derrière l'Amazonie, le deuxième poumon écologique de la planète. C'est aussi un gigantesque réservoir hydrologique couvrant 25.000  kilomètres de voies navigables autour du fleuve Congo, long de 4700  kilomètres. Pour préserver cet écosystème, une douzaine de pays de la région, rejoints par le Maroc, viennent de se réunir à Oyo, en République du Congo, et ont lancé le Fonds bleu pour le bassin du Congo. Défendue lors de la COP22 de Marrakech par le président congolais Denis Sassou- Nguesso, avec l'appui de la Fondation Brazzaville pour la paix et la préservation de l'environnement, cette initiative est une première en Afrique.

    Financé à hauteur de 100 millions d'euros par des subventions annuelles renouvelables, le Fonds bleu, accompagné par la Banque mondiale, a pour ambition de soutenir le développement économique dans cette région, à travers une exploitation raisonnée des forêts et une gestion durable des eaux. Le but est notamment de financer des projets pour entretenir les voies de navigation, aménager des ports secondaires, renforcer l'irrigation pour améliorer la productivité agricole ou encore développer la pêche durable et l'aquaculture. Autre objectif: traiter les eaux usées, accélérer l'approvisionnement en eau potable et mieux gérer le traitement des déchets solides déversés dans les cours d'eau et les océans. Vaste programme!

     

    Source :lefigaro.fr


    3 commentaires
  •  

    Kenya : des braconniers tuent l’un des derniers éléphants aux « défenses géantes »

     

    Satao II, un éléphant aux « défenses géantes », a été tué ce lundi 6 mars 2017 au Kenya par des braconniers. Il ne resterait plus que 25 pachydermes de cette espèce dans le monde.

    Les éléphants aux « défenses géantes » sont une espèce en voie de disparition. Il n’en resterait plus que 25 dans le monde, dont 15 au Kenya. Et en dépit du renforcement des moyens de protection, notamment l’armement des rangers surveillant les sites qui abritent les précieux pachydermes, ces derniers continuent d’être la cible des braconniers.

    Ce lundi 6 mars 2017, Tsavo trust, une organisation kenyane de protection de la faune sauvage, a rapporté la mort d’un pachyderme aux « défenses géantes ». Satao II, l’éléphant qui a trouvé la mort, était âgé d’environ 50 ans et arborait deux immenses défenses, pesant chacune plus de 50 kilos. L’animal, qui avait pourtant survécu à des épisodes de sécheresse et à d’autres tentatives de braconnage, aurait été tué par une flèche empoisonnée, technique particulièrement appréciée des braconniers pour sa discrétion.

     

    L’Asie : principale destination du trafic d’ivoire  

    Le durcissement de la législation et la hausse de la répression n’ont toujours pas éradiqué le trafic d’ivoire, qui alimente en grande partie les marchés asiatiques, notamment chinois, où l’ivoire, utilisé pour la fabrication d’objets, est également perçu comme ayant des vertus médicinales.

    30 000 éléphants seraient massacrés chaque année en Afrique selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Entre 2006 et 2015, la population africaine des éléphants a été réduite de de 111 000. Principale cause de ce déclin : le braconnage. 

     


    source: meteocity.com
     

     

    éléphant aux défenses géantes


    4 commentaires
  • Boire ou marcher

     

    Boire ou marcher

     

    Namibie : le taux d’alcoolémie des piétons sera contrôlé en cas d’accident

     

    La police de Windhoek a décidé de contrôler le taux d’alcoolémie des piétons impliqués dans les accidents de la route. Cette mesure destinée à rendre les piétons plus prudents, sera associée à des sanctions.

    Boire ou marcher : les piétons devront choisir

    En cas d’accident de la route, les piétons de Windhoek, la capitale de Namibie, pourront subir un contrôle d’alcoolémie. « La plupart du temps, les victimes sortent des bars et sont sous l'influence de l'alcool, ce qui rend difficile de se concentrer complètement sur la route », a récemment indiqué Edmund Khoaseb, le porte-parole de la police de Windhoek.

    Selon la police, les accidents de la route impliquant des piétons se produisent majoritairement le week-end et la nuit après la fermeture des bars. Ainsi, entre janvier et octobre 2016, en Namibie, 147 personnes ont été tuées et 832 ont été blessées dans des accidents impliquant des piétons, selon le Motor Vehicle Accident Fund.

     

    Des démarches de sensibilisation entreprisent

    Les sanctions applicables en cas de taux d’alcoolémie important n’ont pas été précisées. Cependant, la police de Windhoek a ajouté que cette mesure ne serait pas la seule adoptée pour ce début d’année 2017. En effet, elle prévoit des campagnes de sensibilisation pour apprendre aux piétons à traverser la route en toute sécurité. Des amendes sanctionneront les piétons qui traversent en dehors des passages prévus à cet effet.

    La Namibie n’est pas le seul pays à sensibiliser la population aux dangers de l’alcool. Un livre vert a été publié en Afrique du Sud par le gouvernement provincial de Western Cape. Cet ouvrage rappelle notamment que les piétons alcoolisés « présentent souvent des comportements à risque ». 

    Source : meteocity.com 

     

     


    1 commentaire
  •  

     

    Maïs : la chenille légionnaire d'automne débarque en Afrique

     

     

    C'est un fléau nouveau pour les céréales en Afrique : venue d'Amérique, la chenille légionnaire d'automne progresse du nord-ouest au sud du continent. Elle vient d'être détectée en Afrique du Sud, où elle menace les récoltes de maïs.

    La chenille légionnaire d'automne débarque en Afrique, ce qui inquiète terriblement la FAO, l'organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation. Car cette larve de papillon venue d'Amérique s'attaque en particulier au maïs, et sa présence a été confirmée en Afrique du Sud, grenier à maïs du continent africain.

     

    La chenille légionnaire d'automne était inconnue en Afrique, plus habituée à la chenille légionnaire africaine, contre laquelle d'ailleurs l'Afrique du Sud s'était mise à cultiver du maïs transgénique, contenant un insecticide. Mais la cousine américaine de la chenille légionnaire est encore plus redoutable, ses mandibules peuvent s'attaquer même aux grains des céréales, 90% des récoltes peuvent être anéanties. C'est à cause de ce ravageur du maïs que le Brésil a lui-même introduit la culture du maïs OGM.

    Une menace préoccupante pour la FAO

    A l'état de papillon, la chenille légionnaire d'automne peut progresser de 2 000 km par an, aidée par le vent. Apparue au Nigeria au début de l'année dernière, elle a très vite été signalée au Bénin, au Togo, au Niger et même à São Tomé et Príncipe. Depuis quelques semaines, l'insecte sévit en Afrique australe, où il pourrait ravager le maïs, la base de l'alimentation : la Namibie, le Mozambique, le Zimbabwe, le Malawi l'ont signalé et désormais l'Afrique du Sud. Pour l'instant, seules deux provinces sont touchées, au nord de l'Afrique du Sud, et l'on prévoit dans ce pays indispensable à l'approvisionnement de toute la région une récolte de maïs supérieure de 60% à celle de l'an dernier, donc très confortable.

    Mais la menace est suffisamment importante pour que la FAO convoque une réunion d'urgence à Harare, la capitale zimbabwéenne. D'autant que l'Afrique australe n'est pas encore sortie d'une crise alimentaire causée par deux années de sécheresse consécutives, où la récolte sud-africaine de maïs avait été réduite d'un tiers en 2015 puis de la moitié en 2016, au point que Pretoria, habituellement fournisseur de maïs à toute la région, avait dû importer du maïs du Brésil.

     

    Source:rfi

     

     

     


    3 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique