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    Le Botswana autorise de nouveau la chasse à l'éléphant

    Le pays a justifié sa décision par l'augmentation de la population des pachydermes qui aurait un effet négatif sur les revenus des agriculteurs.

    Le Botswana a levé ce mercredi l'interdiction de chasser l'éléphant sur son territoire, faisant valoir que la population des pachydermes avait augmenté et avait un effet négatif sur les revenus des agriculteurs. Cette mesure devrait susciter les protestations des défenseurs de la biodiversité mais se révéler populaire auprès des électeurs ruraux, en prévision d'un scrutin présidentiel prévu en octobre.

    La chasse commerciale aux animaux sauvages menacés, dont les éléphants, avait été interdite en 2014 par le président botswanais Ian Khama, fervent protecteur de l'environnement. Mais les députés du parti au pouvoir faisaient pression pour lever l'interdiction, affirmant que les populations d'éléphants étaient devenues ingérables dans certaines régions de ce pays d'Afrique australe.

    Et le nouveau président botswanais Mokgweetsi Masisi, arrivé au pouvoir l'an dernier, avait pris ses distances avec la politique de défense à tout prix de la faune sauvage initiée par son prédécesseur, ordonnant un réexamen de la mesure. «Le Botswana a pris la décision de lever le moratoire sur la chasse», a annoncé le ministère de l'environnement dans un communiqué. Une étude a montré «que les conflits entre humains et éléphants ont augmenté en nombre et en intensité et affectent de plus en plus les moyens de subsistance» des habitants. Le ministère a promis que la chasse reprendrait «de manière ordonnée et éthique».

    Le Botswana a de loin la plus importante population d'éléphants en Afrique, avec 135.000 individus recensés en 2015, qui se déplacent librement et dont beaucoup passent en Namibie, en Zambie et au Zimbabwe. Certains experts estiment que leur nombre a presque triplé en trente ans, et pourrait désormais atteindre 160.000. Le braconnage constitue la principale menace qui pèse sur les pachydermes, dont les défenses se vendent à prix d'or en Asie, notamment pour servir les besoins de la médecine traditionnelle.

    Les défenseurs de la faune s'opposent catégoriquement au rétablissement de la chasse qui, selon eux, ruinerait le tourisme botswanais, un des piliers de son économie.

     Source :Le Figaro avec AFP

     


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  • ET QUOI EN RETOUR???????

     

    Séjour de Le Drian à Kinshasa : la France annonce une aide de 300 millions d'euros à la RDC

     

    La France annonce un renforcement de son aide à la RDC, à hauteur de « 300 millions d’euros sur l’ensemble du mandat du mandat du président Tshisekedi ». Un communiqué conjoint publié lundi 20 mai à Kinshasa à l’issue de l’entretien entre le ministre français de lʼEurope et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, et le président congolais, Félix Tshsekedi, détermine trois axes prioritaires de cette aide : l'éducation, la santé et la sécurité.

    En matière de l’éducation, le communiqué met l’accent sur la construction de 700 salles de classe et le paiement de plus 30 000 enseignants depuis 2013. Le communiqué annonce également un appui renforcé aux grandes écoles de formations de l’Administration congolaise telles que l’Ecole nationale d’administration (ENA), l’Institut national de formation judiciaire (INAFORJ) et l’Académie diplomatique.

    La lutte contre l’épidémie à virus Ebola, qui frappe la région de Beni et Butembo (Nord-Kivu) et une partie de l’Ituri, depuis environ dix mois, constitue la priorité dans le secteur de la santé. A cela s’ajoute la lutte contre le choléra, par l’assainissement et l’adduction d’eau potable.

    La coopération au plan sécuritaire entre Paris et Kinshasa porte sur la stabilisation de l’ensemble du territoire de la RDC. L’accent est mis sur le renforcement des capacités des FARDC, notamment à travers la formation des cadres de l’armée nationale.

    Les actions communes sur des projets importants entre les deux pays vont porter principalement sur la Francophonie et la lutte contre les changements climatiques.

    Source :radiookapi

     

     


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  • LIMBONDO AUX CAROTTES ET PATATES DOUCES

    LIMBONDO AUX CAROTTES ET PATATES DOUCES

     

    Préparation 20 minutes

    Cuisson 30 minutes

     

    Ingrédients

     

    4 carottes

    1 bouquet de feuilles de manioc

    2 grosses patates douces

    1 cuillerée à soupe de bicarbonate

    2 racines de manioc

    500 grammes de chair de poissons fumés

    2 courgettes

    2 oignons blancs

    2 poivrons

    3 piments rouges

    1 pincée de sel

    2 feuilles de laurier

    5 tiges de ciboulette

    30 cl d’huile de palme

     

    Préparation

     

    Commencez par apprêter les feuilles de manioc.

    Une fois bien nettoyées, vous devez ensuite les moudre légèrement au mortier.

    Ensuite mettez ces feuilles de manioc dans une casserole, en y ajoutant le bicarbonate et retourner avec la main pour bien mélanger.

    Couper grossièrement les oignons, les courgettes et les poivrons avant de les ajouter aux feuilles de manioc.

    Placer ce mélange au feu tout en retournant pendant 20 minutes.

    Lorsque vous remarquez que les feuilles de manioc se sont attendries, coupez les carottes en rondelles et verser dans la marmite, vous prolongez la cuisson pendant 3 minutes et vous retirez la casserole du feu.

    Vous apprêtez ensuite les patates douces et les racines de manioc. Epluchez-les, coupez-les en petites cubes et faites bouillir au feu vif avec de l’eau, du sel et des feuilles de laurier.

    Une fois ces patates douces et racines de manioc attendries, retirer-les de l’eau et ajouter dans les feuilles de manioc, et en y versant également un peu d’eau.

    Lavez ensuite la chair de poisson fumé trempé dans l’eau pendant une heure. Ajoutez y dans la casserole, ainsi que la ciboulette que vous hachez finement et le piment rouge.

    Ajoutez le sel et ramenez la casserole au feu. Laisser le mélange cuire pendant environ 8 minutes.

    Au bout de ces 8 minutes, retirez la casserole du feu et ajoutez l’huile de palme, retournez et servez le plat de préférence chaud.

    Ce repas ne demande pas d'accompagnement.

     

    Source :radiookapi

     


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